La vérité, comme dit le dicton, est toujours la première victime d’une guerre. Les journalistes le savent bien. Quand les armes se sont tues et qu’ils regardent en arrière, beaucoup, honteux des charniers de Timisoara (1) ou des armes de destruction massive irakiennes, jurent que « plus jamais ça… ». Mais on se laisse trop facilement encore reprendre par l’indignation, l’émotion, l’exaltation …
Quelques réflexions sur la couverture de la guerre
